(film sorti en salles le 02.01.08)
Une prison spatiale dans l'orbite de la planète Dante avec à bord 6 détenus, 2 médecins et 3 surveillants.
Une navette s'arrime avec à son bord Elisa, une "biologiste" et un nouveau pensionnaire dont personne ne connait le nom.
Surnommé rapidement "St Georges" à cause d'un tatouage sur son épaule, ce dernier sème -bien malgré lui- zizanie et retour de pulsions meurtrières au milieu de la hiérarchie déjà installée, avant de faire la quasi-unanimité du "groupe".
Quant à Elisa, ses connaissances et son comportement enveniment rapidement les relations entre les deux collègues (pourtant sensés être ses supérieurs) qui l'accueillent.
D'injections en injections sur les sept cobayes humains, les choses vont dégénérer jusqu'à la perte possible -et programmée par Attila, l'un des détenus- de la station qui quitte son orbite pour aller droit vers la planète fournaise qu'est Dante.
L'ultime intervention de St George terrassant le dragon fait que la prison/laboratoire est sauvée, Dante devenant une planète avec mers et glaciers (tiens, tiens...)
Transposition de mythe biblique, description d'expérimentations scientifiques en milieu carcéral sont au menu de ce film d'anticipation-fiction qui, même s'il ne peut rivaliser avec des 2001 l'odyssée de l'espace ou bien la série des Star wars (ce n'est d'ailleurs pas le propos), n'a rien à leur envier au point de vue effets spéciaux ; compensant ainsi un scénario qui, tout en étant bien ficelé, n'est pas d'une originalité débordante.
Lambert Wilson peu causant (St Georges), Dominique Pinon en "chef de meute" (César), François Levanthal meurtrier dans l'âme (Lazare) concourrent -entre autres- à la crédibilité de de ce film qui est plutôt une réussite en matière de "SF made in France".
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AVIS : 3 (cf. échelle de notation)
Une prison spatiale dans l'orbite de la planète Dante avec à bord 6 détenus, 2 médecins et 3 surveillants.
Une navette s'arrime avec à son bord Elisa, une "biologiste" et un nouveau pensionnaire dont personne ne connait le nom.
Surnommé rapidement "St Georges" à cause d'un tatouage sur son épaule, ce dernier sème -bien malgré lui- zizanie et retour de pulsions meurtrières au milieu de la hiérarchie déjà installée, avant de faire la quasi-unanimité du "groupe".
Quant à Elisa, ses connaissances et son comportement enveniment rapidement les relations entre les deux collègues (pourtant sensés être ses supérieurs) qui l'accueillent.
D'injections en injections sur les sept cobayes humains, les choses vont dégénérer jusqu'à la perte possible -et programmée par Attila, l'un des détenus- de la station qui quitte son orbite pour aller droit vers la planète fournaise qu'est Dante.
L'ultime intervention de St George terrassant le dragon fait que la prison/laboratoire est sauvée, Dante devenant une planète avec mers et glaciers (tiens, tiens...)
Transposition de mythe biblique, description d'expérimentations scientifiques en milieu carcéral sont au menu de ce film d'anticipation-fiction qui, même s'il ne peut rivaliser avec des 2001 l'odyssée de l'espace ou bien la série des Star wars (ce n'est d'ailleurs pas le propos), n'a rien à leur envier au point de vue effets spéciaux ; compensant ainsi un scénario qui, tout en étant bien ficelé, n'est pas d'une originalité débordante.
Lambert Wilson peu causant (St Georges), Dominique Pinon en "chef de meute" (César), François Levanthal meurtrier dans l'âme (Lazare) concourrent -entre autres- à la crédibilité de de ce film qui est plutôt une réussite en matière de "SF made in France".
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AVIS : 3 (cf. échelle de notation)
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