Un film qui se veut "l'histoire" du fameux gang des postiches depuis sa constitution par une bande de jeunes de Belleville et leurs débuts patauds jusqu'à leur "professionnalisation" dans les années 80 après une petite période de "mise au vert" pour se faire oublier des forces de l'ordre et -accessoirement- éviter la peine de mort qui aurait pu les guetter -à l'époque- au bout du chemin (ce qui arrivera malgré tout à certains et de façon plus expéditive que le résultat d'un long procès).
Il y a quelques longueurs, mais c'est normal à vouloir tout raconter par le menu et l'agrémenter d'une touche de romantisme (ah, concilier dope, amitié, amour, famille et "travail"...) et de parti pris (mais tous leurs casses sans effusion de sang au nez et à la barbe de la police les ont réellement rendu populaires et le film est quand même basé sur le livre écrit par le cerveau du groupe...)
Et puis la réalité les rattrape, le parti pris est abandonné pour la vérité toute crue : les truands ont une vie mouvementée et leur chute n'est jamais très glorieuse.
Vincent Elbaz mène le jeu de façon détachée comme devait le faire le meneur dans la réalité de l'époque et Gilles Lellouche excelle en flic complètement obsédé par "sa chasse" et qui "pète les plombs", bref : encore une réussite à mettre au compte du cinéma français.
Il y a quelques longueurs, mais c'est normal à vouloir tout raconter par le menu et l'agrémenter d'une touche de romantisme (ah, concilier dope, amitié, amour, famille et "travail"...) et de parti pris (mais tous leurs casses sans effusion de sang au nez et à la barbe de la police les ont réellement rendu populaires et le film est quand même basé sur le livre écrit par le cerveau du groupe...)
Et puis la réalité les rattrape, le parti pris est abandonné pour la vérité toute crue : les truands ont une vie mouvementée et leur chute n'est jamais très glorieuse.
Vincent Elbaz mène le jeu de façon détachée comme devait le faire le meneur dans la réalité de l'époque et Gilles Lellouche excelle en flic complètement obsédé par "sa chasse" et qui "pète les plombs", bref : encore une réussite à mettre au compte du cinéma français.
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