Long au démarrage, je commence à trouver enfin un intérêt à cette histoire de professeur roumain septuagénaire "foudroyé" en 1938, ayant pour effet de le rajeunir et d'avoir développé sa mémoire à tel point qu'il converse dans des langues qu'il parle soudain aussi facilement qu'il avait eu de mal à les étudier durant toute sa vie.
Passons sur la phase de l'interrogation "dois-je céder à la tentation" et laquelle -le bien ou le mal- alors que toute l'Europe (du gouvernement roumain aux nazis qui rôdent et déferlent un peu partout) et même les Etats-Unis (avec un émissaire joué par... Matt Damon) cherchent à lui mettre la main dessus de gré ou de force dans un but plus ou moins avouable.
Mais il résiste. Bon, moi aussi, contre l'ennui qui me gagne.
Diable, il va bien y avoir un éclair qui va surgir pour nous électriser tel le héros ?
Que nenni !
On se retrouve après la guerre, et le Pr Matei tombe amoureux de Veronica qui ressemble à son amour de jeunesse, se trouve elle aussi foudroyée dans des conditions similaires mais avec un résultat différent : elle entre dans des phases de transe au cours desquelles elle parle à chaque fois un dialecte plus ancien que le précédent.
Parallèlement à ses "remontées dans le temps" avec des "monologues" égyptien, araméen, babylonien...(scrupuleusement retranscrits par le professeur pour enrichir et finir son livre) ; elle vieillit physiquement alors que son âge biologique n'atteint pas la trentaine.
A ce niveau, je suis dans la 4è dimension et je décroche mais heureusement, la fin se profile.
Las, la fin ressemblant à s'y méprendre au début [l'histoire ne se répéte-t-elle pas toujours deux fois ?!?], je m'interroge encore : tout ce que l'on nous a infligé est-il le résultat de fantasmes de ce bon professeur ou bien un flash-back d'un vécu bien réel ??
Bref, que reste-t-il de tout ça ?
Pour moi, un rôle "marathon" que porte vaillamment Tim Roth, un petit message en filigrane (que je devine de manière plus que floue...), de l'inventivité dans la façon de filmer certaines scènes, un très bon directeur de la photo...
Pour le reste, vouloir faire trop cogiter peut produire l'effet contraire à celui espéré et c'est mon cas : je ne m'infligerai pas une seconde projection pour essayer de saisir le fin mot de l'histoire. (c'est peut-être d'ailleurs là la seule réussite de M. Coppola...)
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AVIS : 1 (cf. échelle de notation)
Passons sur la phase de l'interrogation "dois-je céder à la tentation" et laquelle -le bien ou le mal- alors que toute l'Europe (du gouvernement roumain aux nazis qui rôdent et déferlent un peu partout) et même les Etats-Unis (avec un émissaire joué par... Matt Damon) cherchent à lui mettre la main dessus de gré ou de force dans un but plus ou moins avouable.
Mais il résiste. Bon, moi aussi, contre l'ennui qui me gagne.
Diable, il va bien y avoir un éclair qui va surgir pour nous électriser tel le héros ?
Que nenni !
On se retrouve après la guerre, et le Pr Matei tombe amoureux de Veronica qui ressemble à son amour de jeunesse, se trouve elle aussi foudroyée dans des conditions similaires mais avec un résultat différent : elle entre dans des phases de transe au cours desquelles elle parle à chaque fois un dialecte plus ancien que le précédent.
Parallèlement à ses "remontées dans le temps" avec des "monologues" égyptien, araméen, babylonien...(scrupuleusement retranscrits par le professeur pour enrichir et finir son livre) ; elle vieillit physiquement alors que son âge biologique n
A ce niveau, je suis dans la 4è dimension et je décroche mais heureusement, la fin se profile.
Las, la fin ressemblant à s'y méprendre au début [l'histoire ne se répéte-t-elle pas toujours deux fois ?!?], je m'interroge encore : tout ce que l'on nous a infligé est-il le résultat de fantasmes de ce bon professeur ou bien un flash-back d'un vécu bien réel ??
Bref, que reste-t-il de tout ça ?
Pour moi, un rôle "marathon" que porte vaillamment Tim Roth, un petit message en filigrane (que je devine de manière plus que floue...), de l'inventivité dans la façon de filmer certaines scènes, un très bon directeur de la photo...
Pour le reste, vouloir faire trop cogiter peut produire l'effet contraire à celui espéré et c'est mon cas : je ne m'infligerai pas une seconde projection pour essayer de saisir le fin mot de l'histoire. (c'est peut-être d'ailleurs là la seule réussite de M. Coppola...)
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AVIS : 1 (cf. échelle de notation)
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