(film sorti en salles le 14.11.07)Dans la famille Bellinsky, tout le monde est... "spécial" : le père Salomon est un peu loufoque et chaque instant de sa vie semble être une "fuite en avant", sa femme dont il est séparé est -faussement ou pas- "gâteuse" et ne sait rien faire toute seule ; quant à la fille qui nous narre l'histoire ; entre la mère, le père et sa maternité qu'on lui annonce alors que précédemment on la promettait stérile ; elle essaie de se raccrocher aux branches.
Ca parle sur un ton léger de la vieillesse, de l'amour, de la mort et fourmille (un peu trop d'ailleurs...) de bonnes idées malheureusement pas assez approfondies :
lorsque Salomon semble vouloir chasser ses démons en visitant avec Violette le musée de la guerre puis celui de la Shoah avec sa fille ; retrouver l'amour et un semblant de jeunesse ; expliquer à sa fille que l'on a une conquête et, à cette dernière, décider d'expliquer (ou de taire partiellement) que l'on a eu une vie bien remplie avant ; la peur de la déchéance, de la dépendance aux autres et à la paupérisation que cela peut amener...
Je passe sur l'improbable périple en Suisse dans lequel se fait entraîner la femme de Salomon qui n'a pas grand intérêt.
Jean-Pierre Marielle a bien sûr un rôle "taillé" sur mesure ; autour duquel gravitent avec plus ou moins d'aisance Valeria Bruni-Tedeschi (la fille), Bulle Ogier (la mère plus proche de l'asile que de la raison), Sabine Azéma (Violette le nouvel amour trouvé via petite annonce) et Arié Elmaleh (le compagnon de la fille).
Au final ; on a souri sans méchanceté plus souvent que l'on ne s'est esclaffé ; certaines situations laissent sur leur faim car pas assez développées ; mais ça reste un "dessert" très digeste et savoureux.
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AVIS : 2 (cf. échelle de notation)
Ca parle sur un ton léger de la vieillesse, de l'amour, de la mort et fourmille (un peu trop d'ailleurs...) de bonnes idées malheureusement pas assez approfondies :
lorsque Salomon semble vouloir chasser ses démons en visitant avec Violette le musée de la guerre puis celui de la Shoah avec sa fille ; retrouver l'amour et un semblant de jeunesse ; expliquer à sa fille que l'on a une conquête et, à cette dernière, décider d'expliquer (ou de taire partiellement) que l'on a eu une vie bien remplie avant ; la peur de la déchéance, de la dépendance aux autres et à la paupérisation que cela peut amener...
Je passe sur l'improbable périple en Suisse dans lequel se fait entraîner la femme de Salomon qui n'a pas grand intérêt.
Jean-Pierre Marielle a bien sûr un rôle "taillé" sur mesure ; autour duquel gravitent avec plus ou moins d'aisance Valeria Bruni-Tedeschi (la fille), Bulle Ogier (la mère plus proche de l'asile que de la raison), Sabine Azéma (Violette le nouvel amour trouvé via petite annonce) et Arié Elmaleh (le compagnon de la fille).
Au final ; on a souri sans méchanceté plus souvent que l'on ne s'est esclaffé ; certaines situations laissent sur leur faim car pas assez développées ; mais ça reste un "dessert" très digeste et savoureux.
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AVIS : 2 (cf. échelle de notation)
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